Une installation
qui a une longue histoire.
Pérégrinations de morceaux
isolés ou de petits groupes,
dans un démontage et remontage constant
des langages.
Pauses pour cogiter
ou pour se reposer.
La première
au Festival de Ravenne,
dans la Salle Dantesque •
de la Bibliothèque Classense.
et, avec un saut de dix ans, au Palais Royal
de Milan •
Un voyage
qui n’est pas encore achevé.
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En l’absence de l’homme, que sont les
choses? Formes inertes, empreintes laissées dans le sillon
de l’histoire ou figures palpitantes de l’imaginaire? Par
exemple, un piano sans pianiste, que fait-il? Il attend, médite,
évoque, il est simplement là? Et l’homme, il le regrette ou
pas?
En quarante-cinq photographies noir et blanc, des pianos,
diversement situés et regardés selon des perspectives inédites,
se révèlent des créatures parfois inquiétantes, presque toujours
mystérieuses.
Des textes accompagnent les images, leur conférant une sorte
d’animisme évocateur et extravagant: ce sont de brefs récits,
des dialogues, des vers ou des commentaires paradoxaux, où
la dimension fantastique se mêle à des références musicales
et littéraires.
L’ambiance sonore tire du piano une voix intérieure et singulière
et transforme le parcours visuel, traduisant les mots écrits
en sonorités infinies qui dialoguent avec les images.
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Extraits du vidéo •
Origine et écriture des textes:
une réflexion posthume
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Images-texte-son:
notes sur l’interaction •
Pour voir lire écouter
d’autres pianos •
et •
Une performance pour Outis
à la Triennale de Milan
Un séminaire à l’IED
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